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Houleusement tienne

It's better to feel pain than nothing at all.

Hello mes amours, c'est la fin de ce blog... Cela fait déjà un long moment maintenant que je ne suis plus sur Skyrock mais je me devais de dire au revoir comme il se doit, vous avez été si gentils et merveilleux, tellement de bons conseils et si encourageants !! Vous m'avez suivie et lu mes plus beaux textes, mes peines de coeurs, mes états d'âmes... Je ne supprimerai pas ce blog car il reste une partie de mon passé et a été mon jardin secret pendant de longs mois, m'y replonger est comme revenir à une periode, à instant de vie fixé dans le temps. A une époque où je pensais que j'avais laissé partir le garçon de mes rêves, une époque où je pensais que le coup de foudre n'arrivait qu'une fois. Si vous saviez combien d'autres j'en ai eu jusque là... combien de fois j'ai cru que j'avais laissé passé l'homme de ma vie, combien de fois j'ai haïs le destin, de mettre sur ma route des personnes si formidables et me les retirer aussi vite. Il y a tant de choses que j'aurais voulu partager avec vous et sur ce blog, tant de choses que j'aurais voulu entendre de vous aussi ! En soit voilà, je suppose que l'on grandit tous et que l'on emprunte des chemins très différents, je suppose même que la plupart d'entre vous ont quitté la plateforme depuis longtemps aussi, mais pour ceux qui restent : n'hésitez pas à parler, partagez, racontez, exprimez vous dans les commentaires... Il n'y a rien de plus libérateur et de plus beau que de traduire ses émotions par des mots, et que ces mots ici même deviennent poésie. Je lirai chacun de vous, même si je ne répond pas. 
En y repensant, c'est ironique... J'ai créé ce blog pour me libérer d'une peine de coeur, d'un amour trop lourd et je reviens aujourd'hui le coeur battant, prêt à s'ouvrir à quelqu'un de nouveau, à commencer quelque chose de bon, à en re-crier mon amour. C'est fou de se rendre compte à quel point la vie forme une boucle, à répétition. Je replonge dans mes textes et ils me parlent comme ils me parlaient il y un an, comme ils me parlaient il y a deux. Les mêmes sentiments, incontestablement qui reviennent, et pourtant ! Ils semblent frais, nouveaux, peu communs, spectaculaires. Haha, la vie réserve de si belles aventures à ceux qui savent les accueillir. Alors, accueillez les. Ouvrez grand vos bras à l'inconnu, sortez de votre zone de confort, ayez le coeur brisé, encore et encore, et encore. Mais aimez. Je sais qu'on le répète bien assez, et je sais que c'est difficile : mais d'une chute, peu importe ô combien douloureuse, vous vous relèverez. On pense parfois avoir si mal que la douleur ne passera jamais, qu'elle restera dans un coin de notre coeur, au fond de notre poitrine et qu'elle brulera chaque jour un petit peu. Par coups rapides mais violents. Ce n'est pas le cas. Oui, vous perdrez des amis, et vous en rencontrerez d'autres. Ce serait mentir de dire que vous les remplacerez, ou que vous remplacerez le sentiment que vous aviez en étant avec eux, mais vous en trouverez un autre qui estompera tous les bleus. Aucun amour n'est le même, mais chacun vaut le coup d'être vécu. En attendant, déversez votre haine, votre chagrin, vos plaies, vos coups, vos douleurs, propagez votre bonheur, criez d'allégresse, vivez. Everything shall pass. L'amour de votre vie n'est que l'amour d'un temps. Parfois ce temps dur le temps de quelques mois, parfois de quelques années et parfois il dure jusqu'à la fin. Mais : "to feel nothing so as not to feel anything - what a waste!" (CMBYN). Vous avez du talent à revendre, ne le lâchez jamais.  

ps. J'ai changé l'habillage, pour l'été, et parce que nous sommes comme les vagues : indomptables, plein de remous et intensément vivants. Houleusement. Les vagues, d'un océan un peu plus clair, étaient la première vraie couleur du blog. J'ai pensé que, vu que la boucle se referme, ce serait un joli clin d'oeil. Plein de bonnes choses mes amours, vraiment ♥ 
 
Oh et, en guise de cadeau de départ : un blog que je n'ai jamais partagé avec personne, car trop personnel.
Les dernières esquisses de mon coeur mis à nu. 
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#Posté le samedi 28 avril 2018 19:24

Modifié le dimanche 22 juillet 2018 22:46

Vertueuses horizons.

Vertueuses horizons.
répertoriée ici et ici | partenaire (♡) | tumblr | blog musique
.
Vertueuses horizons.Vertueuses horizons.Vertueuses horizons.Vertueuses horizons.❂ Je n'accepte pas les demandes d'amies muettes. Ce blog est une échappatoire pas un concours pour déterminer qui possèdent le plus d'amis. Quelques "j'aime" ou un commentaire suffisent.
❂ Je parle avec qui voudra bien me parler. Lâchez-vous donnez-moi vos opinions si vous le souhaitez, je vous répondrais toujours ou en tout cas je ferais tout mon possible pour vous répondre.
❂ Je n'accepte pas les pubs. Je suis désolée mais j'ai déjà donné. Je sais ce que c'est de débuter mais croyez-moi, c'est plus énervant qu'autre chose de devoir se forcer. Inscrivez-vous sur un blog répertoire, ça marche encore mieux. Courage !
.
Il m'a demandé alors : "Comment devient-on un écrivain?" et j'ai répondu : 
"C'est simple, on a le choix entre tout mettre par écrit ou sauter d'un pont"

Vertueuses horizons.
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#Posté le jeudi 21 février 2013 19:33

Modifié le samedi 28 avril 2018 19:37

À bas le monde.

À bas le monde.

Et quand les phrases si motivantes pour l'esprit se changent en coups de poings au coeur, lorsqu'on se rend compte qu'on ne les mérite plus, on fait quoi, alors, après ? Comment fait-on pour sortir la tête de l'eau alors qu'on voudrait se noyer ? 
 
Tourbillon de néant où je me noie, voilà à quoi je me confonds. J'ai tout gâché, encore, toujours. Mes phrases n'ont plus de sens, en ont-elle jamais eu ? Mon cerveau ne semble même plus vouloir faire l'effort de s'irriguer assez. Je ne sais plus qui je suis, ce que j'ai été. C'est à peine s'y j'arrive à me regarder. Je me hais pour ce que je t'ai fais, ce que je leur ai fait, pour ce que je ferais à nouveau. Je me hais de ne jamais savoir ce que je veux avant de le voir s'en aller. J'avais tout et je l'ai perdu aussi subitement que ça, dans un murmure, dans l'intonation d'une phrase. J'avais tout et pourtant ça n'avait pas l'air d'être assez, n'est ce pas ? Il a fallu que je me mêle de l'écho du monde, de la symphonie de la vie des autres alors que je n'arrivais même pas à comprendre la mienne. Il a fallu que j'insère mon grin de sel dans la poivrière du désastre... Mes parents auraient dû m'appeler Chaos, car c'est bien la seule chose que je suis capable de vous infliger à tous. Est-ce réellement ma vie qui passe sous mes yeux, tel un mauvais feuilleton ? C'est si facile de vivre pourtant, si facile d'accepter le rythme du temps. Pourquoi a-t-il fallu que je joue avec les autres comme ils ont pu jouer avec moi ? Je ne suis pas les autres, je le sais. Un an que j'attends un rapprochement, une concrétisation, un an maintenant que je te réécris en prose. Un an que tu habites mes textes comme tu peux habiter mon coeur, et alors que je t'imaginais y mettre fin, c'est moi, inlassablement, qui a brisé toute espoir de pouvoir nous appeler un "tout". C'est si simple d'accuser les autres à travers des vers, si simple de prétendre que non, ça n'a jamais été de ma faute, jamais, que je n'y suis pour rien "moi", à part d'avoir trop aimer. C'est si simple, de prendre la place de la victime quand on a pas à se mettre à celle de l'accusé. On croirait ne jamais pouvoir être à blamer, pourtant aujourd'hui, je voudrais pleurer ces gens que j'ai tant dénigré, écrire la colère de ceux que j'ai blessé comme je défoulerai la mienne en sonnet. Aujourd'hui, c'est moi qui est à punir, c'est sur moi que je crache, que je dénigre. Faute de ne pouvoir m'exprimer pour ceux que j'ai blessé, j'écris ici pour me souvenir que moi aussi, j'ai merdé. Car oui, chacun accuse et tout le monde est coupable. Je le suis aujourd'hui, comme tu l'as été hier. Et je me hais plus que je ne t'ai jamais hais toi, faire souffrir ceux que j'aime à toujours été pire que de me voir souffrir moi. Je cloture ainsi mon recueil pourtant plein d'amour et d'espoir sur ce pavé de mots qui ne renferme que la honte. J'ai tant espéré, tant essayé de nous écrire, voilà ici la preuve de ma fatalité : la cause de notre destruction et de la mienne, c'est moi. Et ça l'a toujours été. 
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#Posté le mercredi 30 décembre 2015 00:29

Modifié le samedi 28 avril 2018 20:15

« It's just one story, the oldest : light versus dark. And if you ask me, the light's winning. »

«  It’s just one story, the oldest : light versus dark. And if you ask me, the light’s winning. »

« Go out and paint the stars. » 
- V.V.G

Et soudain, c'était clair ; clair comme le ciel nocturne d'Afrique ou l'eau marine des îles vierges. C'était clair et je n'avais plus peur, ni du vent violent du pacifique ni des déflagrations bruyantes au dessus de nos têtes. La forêt de ses yeux me parut alors tranquille, calme et je sus que j'avais fini par la comprendre, la déchiffrer... Je sus que je ne m'y perdrais jamais plus, que je la connaissais par coeur. Le temps avait eu raison de nous, de notre haine, de notre aversion à l'autre. Il avait gommé les regards fuyants, les conversations un peu trop fortes, les coups dans le vide, l'épuisement. Il avait gommé la haine et l'avait remplacé d'amour. Doucement d'abord, dessinant progressivement le croquis qui prenait maintenant vie sous nos yeux béants. Je sus alors que j'avais eu tort. Sur lui, ses pommettes, son parcours, son passé, son futur... Et puis sur moi. Ma prétendue force, mon prétendu courage, les choses que j'avais pensé savoir. Je sus que j'avais eu tort, sur tout. Mes convictions, mes choix. Je pensais avoir compris la vie, je pensais l'avoir vécue ; mais il n'en était rien. Le monde s'ouvrait lentement à moi comme une étoile dans les profondeur et je sus que l'inconnu ne m'effrayait plus. Je connaissais les Hommes, j'avais rencontré des chiens et pourtant, pourtant, l'Humanité ne m'avait jamais parue aussi belle, aussi digne d'être sauvée que sous ce ciel en désordre, ce ciel remplit de nuages semblant crier la haine mais reflétant l'espoir. L'espoir d'un peuple qui se bat, l'espoir d'un peuple qui dit non, enfin. Non à tout, sauf à la vie. Et je le sentais, je sentais qu'à travers ses yeux dans lesquels se reflétaient les miens il savait, il comprenait. Je sus qu'il ressentait la même chose : la même adrenaline, le même soulagement... Je sus que lui aussi ressentait cette chaleur, cette harmonie que l'on éprouve lorsque nous avons le sentiment de tourner en phase avec le monde, de le comprendre. Et je sus que s'en était fini, de notre course contre la montre, de notre fuite du passé. Je sus que le futur se dessinait à l'horizon, un futur commun, un futur qui, pour la première fois depuis des mois, semblait aussi clair que les orages au dessus du toit troué nous servant d'abri. Un futur bien loin de celui que j'avais imaginé me rendre heureuse avant que ce tourbillon d'événement ne débute dans nos vies. Un futur me convenant plus que ceux à la dérive se ressemblant tous, impersonnels, claquant les uns contre les autres à la recherche d'équilibre, semblant convenir à tout le monde mais pourtant à personne. Et, alors que la foudre s'abattait à quelques centaines de mètres seulement de l'endroit où nous nous trouvions, nos regards s'affrontant dans la nuit, il me sourit. Il me sourit et je sus que tout était terminé, que tout recommençait. Je sus que je ne souhaiterais être nul part ailleurs que dans cet établi en bois, juste assez solide pour ne pas se briser, les vêtements trempés, le ciel chargé d'électricité, le bruit du tonnerre couvrant le silence... Son souffle chaud contre ma peau étrangement brulante.
 
 - Extrait d'un livre que je n'écrirais certainement jamais. © 
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#Posté le jeudi 27 août 2015 21:17

Modifié le lundi 04 janvier 2016 17:16

L'écume de ta voix fait écho dans mon coeur.

L'écume de ta voix fait écho dans mon coeur.
L'écume de ta voix fait écho dans mon coeur.
 
« Mais tu voulais l'univers
et je n'avais que moi. »
.
J'aurais voulu lui dire que la vie était superbe, que le monde était radieux, que les étoiles brillaient toujours et qu'elles brilleront encore, mais cela sonnait si faux pour les oreilles de quelqu'un qui n'espérait plus. Alors je me suis tue et je lui ai simplement dit qu'il était beau. Parce que c'était vrai, parce que c'était la seule chose qui sonnait bien, la seule chose qui avait du sens. Rien autour de nous ne semblait plus net que son visage, que ses lèvres, que sa peau, que ses paupières. Je connaissais chacune des taches sur sa peau, chacun de ses défauts, chacun de ses sourires. J'aurais pu le peindre toute ma vie -si j'avais un jour appris comment. J'aurais pu le faire revivre dans un sonnet, le recréer en musique, le chanter -si j'avais un jour appris comment. J'aurais pu faire de ses mouvements une danse, en créer une religion, mais rien ne semblait assez, rien ne semblait possible face à mon seul talent: celui de l'aimer. Car oui, je n'étais qu'un être amoureux d'un chef-d'oeuvre, qu'une étoile parmi des millions d'autres, amoureuse du soleil. Je n'étais rien, je n'avais jamais rien été alors qu'il représentait tout. Alors comment lui expliquer la vie, quand la vie pour moi, c'était lui? 
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#Posté le mercredi 29 octobre 2014 19:29

Modifié le mercredi 29 octobre 2014 22:31

Lorsque plus rien ne dure, la passion demeure.

Lorsque plus rien ne dure, la passion demeure.
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« Aujourd'hui je suis reine, autrefois j'étais libre. »
Acte / Scène : Ruy Blas, II, 1, 8 novembre 1838.
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Les roses de mon coeur ont fané, celles de mes côtés brisées, mon cerveau déconnectées... Plus rien ne compte depuis qu'elle m'a laissé. Mon être n'est plus qu'un squelette frêle sans but ni rêves, je n'arrive même plus à compter les jours depuis que je suis séparée d'elle. Faite qu'elle me revienne. Je ne suis plus rien, plus rien sans ses mots, ses rimes, ses notes, ses trimes. La saveur manque à mes textes, le talent n'est plus. Qu'est-elle devenue? Où est-elle allée? Mon amie, ma partenaire, ma conscience, ma magie. Plus rien n'a de sens depuis qu'elle est partie. Je ne suis que banalité, sans ses mots si avisés. Je ne suis plus rien, plus rien de ce que j'ai un jour été. Je voudrais encore lui dire à quel point je l'aime, à quel point je l'ai aimée. Je voudrais tellement lui crier qu'elle restera à jamais ma préférée, mon alliée. Qu'adviendra-t-il de moi, si elle ne me revient pas? Mon rêve, c'est elle. Il n'a jamais été question que d'elle. Qu'elle pardonne mon esprit, d'avoir été si intrépide. Elle sait maintenant que je suis là, que je le serais toujours. Que je l'attendrais toujours. La solitude n'est plus ma maison, le bonheur y est entré. Etait-ce le prix à payer? Dieu sait que j'ai pourtant encore besoin d'elle, que je ne cesserais jamais d'avoir besoin d'elle. Elle est tout, depuis toujours. Faites qu'elle me revienne. Nous parlerons du bonheur, nous parlerons de la vie. Il y a encore tellement de choses qu'elle doit m'apprendre, et tellement d'autres que je dois comprendre. Ne la laissez pas s'enfuir trop loin, elle pourrait rencontrer quelqu'un d'autre, elle pourrait l'aimer sans moi. Le bonheur m'appartient, mais mon futur, c'est elle. Je garderais les deux, je serais douce, je saurais être docile. Ne me l'enlevez pas. Je ne suis qu'un être vide sans ma différence. J'ai besoin de ma plume, j'ai besoin de mon âme.
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#Posté le mardi 28 octobre 2014 23:31

Modifié le lundi 06 avril 2015 13:12

Partons en quête d'un grand peut être.

Partons en quête d'un grand peut être.
 
« Il est évident que la
-ressource la plus précieuse
----que nous avons, c'est le temps.»
.

Partons en quête d'un grand peut être.La vie ce n'est pas cette petite routine quotidienne que l'on s'impose, ce n'est pas les heures auxquelles on se réveille, et toutes celles que l'on passe à travailler. Ni les postes que l'on obtient et les promotions que l'on reçoit. La vie c'est des voyages. C'est des gens, des rencontres. C'est des sourires, des rires et des larmes. C'est des moments, des instants figés dans le temps et l'espace. Des regards, des baisers, des souvenirs. Ce n'est pas un chemin tout tracé, une ligne droite. Il y a des zigzagues, des virages, des croisements. Parfois on arrive à dessiner une belle route mais la plupart du temps on ne trace pas droit, la feuille se déchire, on perd le fil. La plupart du temps on ne sait pas où va, on s'accroche s'implement au crayon, en espérant trouver notre voie. La vie ce n'est rien d'autre que des expériences, qui nous changeront, nous rendrons meilleurs ou nous mènerons parfois vers une route plus sombre. La vie c'est le combats que nous menons ; contre les autres, avec les autres, pour les autres et surtout contre et pour sois même. La vie c'est des sentiments, qui s'emmêlent et se démêlent au fil du temps. C'est l'adrenaline qui coule dans nos veines, les battements de notre coeur qui se répètent, le souffle chaud d'un autre sur notre peau. C'est tomber amoureux, aimer, tomber, aimer et tomber encore. C'est la chance d'être libre. Toutes les choses qu'on n'a pas faites, nos rêves, nos réussites et nos défaites. C'est la valise de tout ce qui fait de nous ce que nous sommes, et qu'on emporte avec nous dans le vide, l'inconnu que l'on redoute mais que l'on connaît pourtant depuis toujours. C'est tout ce qui nous construit, tout ce qu'on a vécu. Tous nos doutes et nos incertitudes. C'est ce que nous étions, ce que nous sommes et ce que nous deviendrons. C'est la lutte, l'effort et les obstacles. Mais plus que tout, c'est le bonheur d'être en vie, d'être ici, maintenant. Sentir le vent, l'odeur du printemps. La vie c'est seulement l'harmonie que nous formons avec tout ce qui nous entoure. C'est la perpétuelle reinvention de nous-même. C'est nous. Nos tristesses, nos coups de gueules. Mais surtout, surtout, c'est ce que nous choisissons d'être.
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#Posté le mercredi 23 avril 2014 22:09

Modifié le mardi 02 février 2016 17:43

Monde surfait.

Monde surfait.
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Qu'il y a-t-il de plus misérable et pourtant de plus chaud, qu'un coeur amoureux?  
.
Mais tu sais, je t'en veux. Au fond, on avait tout pour être heureux. Peut être que c'était même trop beau, hein? La seule chose que je souhaitais plus que de t'avoir, c'était du temps. Du temps, afin de retirer ce bandeau qui bloquait mes yeux. Ce bandeau qui me faisait foncer tête baissée, vers un futur tout que nous pourrions former. Du temps, pour t'aimer un peu plus qu'hier. Parce que oui, toi, tu es apparu comme ça, comme une évidence. Et parce que, d'une certaine manière, tu étais tout du mec que j'avais attendu si longtemps. Je croyais naïvement en un nous, lorsque tes mots doux effleuraient mon c½ur. Et désespérément, j'y crois encore. Tu vois ce que tu m'as fait devenir? Un cadavre remplit d'amour. D'amour que j'ai tant détesté et pourtant tant aimé à la fois. D'amour que j'aurais voulu jeter, écraser, piétiner et tout aussi paradoxalement que ça, garder tout contre mon c½ur. Toutes mes journées se résumaient à penser à toi, comme si une partie de mon cerveau s'était mise en marche seulement pour en garder ton image. Et tout en moi était rempli d'espoir. D'espoir, de doutes et d'incertitudes. Pensais-tu à moi autant que je pensais à toi? Tes mots signifiaient-ils autant qu'ils signifiaient pour moi? Au final, j'étais quoi dans ta vie, une semaine, un mois, un an? Toutes ces pensées dans ma tête, prête à me rendre folle. La guetté d'un de tes sms, de tes regards. Le c½ur battant à milles allures, les papillons dans le ventre, les frissons, rien qu'à l'idée de former un jour un futur. Et puis, puisqu'il fallait bien que ça arrive un jour, n'est ce pas? Tout a sombré dans le noir. Le temps, finalement, ça ne convenait qu'à moi. Parce que la vérité, c'est que tu en as vite trouvé une autre, c'est ça? Une autre pour qui le temps ne comptait pas. Alors oui, je t'en veux. Car pour une semaine d'attente, tu es tombé dans les bras d'une amie, une amie, tu as dit, que tu n'aimais pas. Parce que, c'était quoi déjà? Ah oui, tu me voulais moi. Tu me voulais moi, mais tu l'as choisi elle. Quelle ironie n'est ce pas ? 
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#Posté le dimanche 29 décembre 2013 23:29

Modifié le mercredi 06 janvier 2016 18:11

Que de belles paroles dans ce monde où rien ne dure.

Que de belles paroles dans ce monde où rien ne dure.

« Le problème avec la souffrance, c'est qu'elle exige d'être ressentie. »

Et si nous avions tous une destinée qui nous est propre ? Et si nous étions nés pour être exactement ce que nous allons devenir ? Certains seraient alors venus au monde pour mourir, d'autres pour rester seuls, quelques autres pour devenir célèbres, une poignée pour travailler dans l'humanitaire, pour servir, guérir, écrire, chanter. D'autres alors seraient destinés à passer leur vie à la maison, travailler dans les champs, s'occuper du bétail en attendant que le ciel leur soit favorable pendant que certains seraient nés pour devenir milliardaires. Il y a-t-il une destinée pour chacun d'entre nous ou sommes-nous simplement un assemblage de chromosomes et de cellules ? Décidons-nous réellement de ce que nous souhaitons faire ou nos choix ont-ils tous été créés avant que nous venions au monde ? Si c'était le cas, certains seraient nés avec des destinés bien plus avantageuses que d'autres dû au simple fait d'avoir été conçu à une heure et dans un lieu plus clément. Pourrions-nous alors juger le monde d'injuste ? Au fond, le système n'est-il pas bâti exactement de la même manière ? Certains ont eu plus de chance, oui, mais sont-ils automatiquement les plus heureux ? Toutes ces histoires sur la destinée, ces voyants, astrologues, tout ça n'est qu'une distraction de plus, des chemins sur notre route. Nous sommes faits de chair et de sang, non d'ondes psychiques ou de codes internet. Nous ne sommes pas des machines, nous n'avons en rien été créés dans un but précis. On se créer des buts, on se les invente. Si une destinée nous était propres à tous, ce serait de venir au monde. Alors vivez, et faites le bien. On ne vous lancera pas une nouvelle fois les dés.
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#Posté le vendredi 09 août 2013 15:22

Modifié le lundi 06 avril 2015 13:15

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